Le chat qui parlait aux fantômes de Lilian Jackson Braun
Jim Qwilleran est devenu riche grâce au testament de Fanny. Seule condition, il en a l’usufruit pendant cinq ans, cinq années durant lesquelles, il va devoir habiter dans le comté de Moose. S’il répond à ce souhait, il deviendra intégralement l’héritier et dans le cas contraire ce sera le comté qui empochera l’argent.
Jim décide donc de s’installer à la campagne avec ses deux félins mais pour ne pas devoir s’encombrer le cerveau avec cet argent, il va créer la fondation Klingenschoen qui s’occupera de subvenir à des projets sociaux, culturels, etc…
Vivre dans une petite ville n’est pas de tout repos pour ce détective à ses heures. Il va une fois de plus découvrir les auteurs de crimes, échapper à une tempête de neige, survivre à un orage sur le lac.. Bref la vie de Jim n’est faite que d’aventures.
Nous retrouvons notre personnage un beau soir. Il écoute Otello en compagne de Koko et Yom Yom. Il vit une belle histoire d’amour avec Polly Duncan la bibliothécaire. Tout est calme lorsque le téléphone sonne.
Madame Cobb, son ancienne gouvernante, devenue riche héritière et vivant dans un musée, le sonne car elle est véritablement effrayée par des bruits étranges qu’elle entend durant la nuit.
Le temps que Jim arrive au musée, Iris Cobb a succombé à une crise cardiaque.
Chose étrange, quelqu’un à éteint la lumière ainsi que le micro-onde…
Jim s’installe dans le musée jusqu’à la désignation d’un nouveau conservateur.
Il va faire la connaissance d’un étrange voisin à la voix nasillarde, d’une petite fille qui l’importune et d’une charmante femme élevant des chèvres.
Koko passe son temps à regarder par la fenêtre en grommelant entre ses moustaches.