Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les couleurs de la vie
Les couleurs de la vie
Visiteurs
Depuis la création 785 513
Derniers commentaires
31 décembre 2015

Separation

DSC05089_001

Publicité
30 décembre 2015

Just a smile

DSC05069

28 décembre 2015

Juste une question de hauteur

DSC04913

DSC04914

DSC04912-001

27 décembre 2015

La plume du corbeau de Patricia Wentworth

51ivh+NfLSL

 

Miss Silver et Miss Marple auraient pu être amies. Toutes les deux âgées, aimant tricoter et résoudre des énigmes sont leurs points communs. 

Par contre, il existe des différences : Maud Silver est une vieille fille, ce qui ne l'empëche d'avoir des neveux et nièces, elle enquête à la demande et se fait rétribuer. Elle ne réside pas dans un petit village mais bien en ville, son intérieur ressemblant à celui de l'ère victorienne.

 

La plume du corbeau est le premier roman dans lequel Maud Silver entre en scène. 

L'inspecteur Frank Abbott fait part à Maud Silver de son inquiétude car une cousine éloignée a reçu une lettre anonyme. La jeune dame, maman d'un garçon,   réside à Tilly Green n'a pas voulu avertir la police. Frank Abbott aimerait que Maud Silver se rende discrètement là bas. Le manoir du village  appartient à la famille Repton dont la fille va bientôt se marier. Un petit village paisible comme il en existe d'autres mais ...

Tout se précipite lorsque Maud Silver lit dans le journal qu'une certaine Doris Pell a été retrouvée noyée sur le domaine de Manor House à Tilly Green. La jeune fille avait reçu des lettres anonymes qui l'avaient affectée.

La décision de Maud Silver est prise.

 

Pour le moment je suis dans mes reprises de séries, surtout policières. Je jongle entre Patricia Wentworth et Agatha Christie. 

Rassurez-vous j'ai d'autres lectures en vue. 

 

25 décembre 2015

Joyeux Noel

97797c46d4979f1f588963466ea5ea82

 

Noël

Tant l’on crie Noël,
Qu’à la fin nous vient.
Tout mon coeur appelle
Noël, Noël !
Tout mon coeur appelle
Tant il se souvient.

Dame neige est en voyage
Sur les routes de l’hiver ;
Les oiseaux du voisinage
Se sont enfuis par les airs.

Seul, le rouge-gorge appelle
Avec sa fluette voix ;
Il fait : Noël, Noël !
À tous les échos des bois.

Tant l’on crie Noël,
Noël, Noël !
Tant l’on crie Noël
Qu’enfin on le voit.

L’espérance est en voyage ;
Dans les bois flambe le houx ;
Le petit enfant bien sage
Rêve au bonhomme aux joujoux.

Tant l’on crie Noël,
Noël, Noël,
Tant l’on crie Noël
Qu’il s’en vient à nous.

Fagus ("Le sacre des innocents" - 1927)

 

Publicité
24 décembre 2015

Je vous souhaite un bon réveillon. Que cette nuit soit entourée de joie. Bises

718c48b03362ec69cc9101e33f0eaff5

20 décembre 2015

Roule boule

DSC04963

13 décembre 2015

New York pour le meilleur et pour le pire John Freeman et etc….

12301522_10153349940900897_6313539818001825015_n

 

Rêvé, j'ai rêvé New York. En fait, quel est le rêve qu'offre New York ? 

John Freeman nous en donne un aperçu à travers les récits d'une trentaine d'auteurs dont Zaddie Smith, David Byrne, Colum Mccann etc

Triste, gai, nostalgique, réaliste, fiction, ces auteurs vous entrainent dans la vie trépidante de cette grande mégapole.

John Freeman, donne la note de qu'est la réalié de New York, elle vous prend dans ses bras ou elle vous broie. Pour exemple, il nous raconte la vie de son frère qui comme lui a vécu à New York mais qui n'était pas fait pour elle. Joh, Freeman vivait dans son appartement tandis que son frère lui errait de foyer en foyer....

New York est pareille à toutes les grandes villes de notre société actuelle, spéculative. Il n'est pas bon d'être pauvre, vous gênez les big boss money.

Les proprios qui tentent de vous chasser, le font sournoisement. Ils débutent des travaux qui ne sont jamais terminés. Ils vous coupent le chauffage en plein hiver quelques heures. A l'usure, certains résistent, d'autres succombent. Déjà en 1920, la ville spéculait sur la migration des communautes pour transformer les quartiers. 

Dans ces récits divers New York est décortiquée par celles et ceux qui y vivent ou qui y ont vécu tant dans la dèche que dans la richesse et c'est une explosion d'énergie. New York est tout simplement l'image que nous renvoie notre siècle.

 

"Ce qui n'es pas ouvertement dit, c'est qu'on est dans la semaine 7 et que en 2014 durant ces sept semaines là, dix elèves d'écoles publiques de la vie de New York se sont suicidé"

 

"Je me sens exceptionnelle quand je pense que mon père a grandi à Brooklyn, qu'il a vu tant de choses changer, qu'il a vécu les mêmes expériences que ma soeur et moi et qu'il y vit toujours. Vivre là, où presque toute ma famille a grandi, dans un quartier qui change tout le temps et qui n'est pas un mauvais quartier, ça me plait"

"je ne sais pas parler d'argent. Ca fait partie des trucs dont on n'arrive pas à se débarasser. Même si on prétend que ça n'a aucune espèce d'importance, l'argent est en toile de fond dans toutes nos relations avec les autres. Ce que moi je possède et toi, pas-et tout ça est imbriqué dans nos identités, nos carrières, notre ambition, notre amour-propre"

"De l'autre côté de Houston Street, on construisait des immeubles d'appartements de luxe, gardés par des congierges. Notre propriétaire avait finalement compris qu'il pouvait exiger des loyers cinq fois plus élevés que ce que chacun d'entre nous payait. Et ainsi, peu après, mon appartement a aussi été nettoyé et vidé, et mes années de jeune adulte mises en boite"

"Il est difficile d'imaginer que cette zone a été couverte un jour de terres cultivées, que Brodway a été un sentier utilisé par les Indiens, reliant ces collines et vallées à la pointe sud de Manhattan"

"Parfois on les voit par ici en train de spéculer, regardant vers le ciel sous l'ombre fraiche de vieux immeubles en brique, condamnés par des palissades. Ils ressemblent à des somnanbules, ces spéculateurs, ces hommes et et femmes du futur qui ignorent absolument tout ce qui se passe autour d'eux, des ces rues, les yreux rivés sur une sorte d'infini où offre et demande formeraient les deux membres d'une équation ne profitant qu'à quelques-uns"

"je n'ai pas emmenagé à New York pour devenir pauvre et vivre des aides sociales, ce qui a pourtant fini par se produire. Je ne comprenais pas vraiment la ville avant d'y vivre mais maintenant je crois la connaitre : New York incarne le conte de deux villes -l'une riche et l'autre pauvre-, mais le New York riche reste le plus visible, celui dont on entend parler le plus souvent"

 

12 décembre 2015

Pom Pomgirl

DSC04906-001

9 décembre 2015

Trouver sa paire...

DSC04894

Publicité
1 2 > >>
Les couleurs de la vie
Publicité
Publicité