Emily Tempest porte en elle les gênes aborigènes de sa mère, décédée, et blancs de son père Jack le chercheur d'or.

Après des années à parcourir le monde, elle décide de retourner dans sa communauté aborigène, là où elle a passé son enfance, et retrouver sa soeur de coeur Hazel.

Derrière l'ombre d'Emily, le crime rode. Tempest est son nom de famille qui rime bien avec les ennuis qu'elle emmène suite à sa maudite curiosité et impulsivité.

Lincoln le chef de la communauté est assassiné. Faut qu'Emily s'en même. C'est parti pour l'aventure.

Un bon petit roman policier qui nous fait parcourir des kilomètres au soleil et dans le busch.

Une description de la relation aboriginènes et blancs surtout pour la possession des territoires sans édulcoration.

Si l'Australie vous fait rêver, la bulle risque d'éclater.

L'avis de Cathulu

Tandis que les parisions découvrent la Tour Eiffel, d'étranges choses se déroulent dans les rues adjacentes.

On y découvre un main momifiée et si cela ne suffisait pas, des cadavres commencent à se ramasser à la pelle, chacun une main coupée.

Dans l'attente d'un nouvel épisode du libraire Victor Legris, je ronge mon frein en découvrant des séries policières qui ont le même goût mais pas la même saveur.

Il fait plutôt froid le jour où l'on découvre le cadavre. Il pend gelé et nu à la branche d'un arbre. Quelles atrocités lui a t-on fait subir. Ce corps pèse plus de cent kilos, et c'est un homme.

Malin Fors ne comprend pas comment on a pu soulever cet homme pour le pendre. Ils devaient être plusieurs ou est-ce le fait d'un homme seul ?

En menant l'enquête, elle va découvrir la personnalité du pendu Bengt Andersson dit Bengt le Ballon dont tout le monde se moquait.

Ses pas vont la mener vers une famille vivant en autorcie, vers deux adolescents plutôt bizarres ainsi que vers un couple qui pratique les cultes Vikings.

Au même moment, elle doit faire face aux premières amours de sa fille Tove tout en ne foràant pas trop sur la boisson.

La vie n'est pas toujours facile au Royaume de Suède....

Un livre d'actualité  avec le froid qui prend ses aises. Bien au chaud sous la couette, vous vous laisserez guider par Mons Kallentoft dans un monde où règne le froid et les secrets de famille.

Pendant que Malin Fors court en tous sens, Bengt le Ballon observe le monde d'en bas tandis que nous attendons le printemps avec sérénité.

L'avis de Cathulu, Cunéipage,

Le commissaire Gallois, pied noir, termine sa carrière à Calais avec amertume. Nous sommes en 1965, l'Algérie est indépendante. Gallois déteste le général de Gaulle ainsi que tout ce qui est notable. Il veut marquer la fin de son travail de commissaire par un coup d'éclat. Un assassin bien attentionné a t-il perçu son appel ? ni une ni deux, la première victime, Pigeon, est découvert lors d'un tournoi de combat de coq, dans l'arrière cour d'un café. Dans sa main, un soldat de plomb.

Les suivants apprendront à leurs dépens que la vengeance d'un enfant est terrible...

Très bon polar. Pas un instant malgré quelques pistes, je n'ai découvert qui était le véritable assassin.  Une belle description de la vie à Calais dans les années soixantes saupoudrées de langage ch'timi.

Pas un instant je n'hésite à découvrir d'autres romans de cet auteur.

Jospeh n'a que 12 ans lorsque son père meurt. Il reste seul avec sa maman dans cette petite ville de Géorgie. Ses plus proches voisins sont les Kruger, allemands d'origine. 1939, on commence à parler de cet Adoylf Hitler qui entraine son peuple vers la guerre.

Le drame pénètre dans le village : on découvre une fillette violée et assassinée dans des conditions horribles. Joseph ressent un malaise.

Moins d'un ans après, une deuxième fillette est retrouvée.  Ensuite en 1941, encore une. La série continue en 1942. Josphe découvre le quatrième cadavre, horrifié, le corps. L'auteur de ces meurtres est un boucher entouré de folie.

Il décide de créer les Anges gardiens avec ses amis afin de protéger les autres petites filles mais surtout Elena Kruger sa petite voisine.

Peine perdue, Kruger étant allemand et la guerre en Europe, la ferme des Kruger brûle une nuit, Eléna n'en réchappe pas.

Joseph se sent coupable, il a peur. Les Kruger déménagent. Joseph grandit mais les meurtres des petites filles continuent dans le pays.

Lorsque j'ai découvert la bio de l'auteur, ancien prisonnier, faisant partie d'un groupe de rock, je me suis dit mouais... Il ne faut jamais lire les bios des auteurs car ce livre est excellent dans le genre littéraire policier sous-entend.

L'âme d'un enfant qui se sent coupable d'une bêtise qu'il n'a pas commise est très bien décrite. L'histoire se déroule de 1939 jusque dans les années soixante, jusqu'au moment où  l'assassin sort de l'anonymat.

L'auteur nous entraine sur une fausse piste mais nous dévoile l'assassin à un moment donné pour nous entrainer vers un autre chemin. Machiavélique....

La femme a été découverte pendue, la jeune femme devait-on dire,  dans la chambre numéro 10 de l'hôtel Revy. Une de ses mains est couverte de peinture blanche. Apparemment suicide mais elle n'a laissé qu'un bout de lettre : un pardon à ceux qu'elle aime.

La découverte de ce corps ramène Erik Winter au tout début de sa carrière : la disparition d'une femme mais jamais retrouvée 18 ans après. Détail étrange, elle avait également séjournée dans la chambre numéro 10 dudit hôtel. Il a cette intuition que ces deux affaires sont liées....

La suicidée n'en est évidemment pas une...

Erik doit mener cette enquête avec dextérité car il a promis à Angela que dans 1 mois, ils s'envolaient avec les petites vers Malaga pour une année sabbatique.

Dans ce roman se mêle l'enquête présente ainsi que celle du début de la carrière d'Erik Winter. De ce fait, il faut parfois quelques secondes pour réaliser que l'on se retrouve dans le passé et qu'ensuite on récupère le présent mais on s'y habitue très vite.

Indubitablement, j'adore le personnage d'Erik Winter.

Louis Denfert, chroniqueur, rêve de trouver le scoop. Sa route croise de toute évidence des cadavres. Le voilà parti vers l'aventure en compagnie de Camille, actrice et maitresse, Emile l'ancien militaire qui s'est reconverti en professeur de boxe, Albert assistant du célèbre professeur légiste Lacassagne, à ses heures célèbre magicien. Le quatuor part en guerre contre le mal et nous entraine à Aix les bains, Londres et Venise.

Les trois roman se déroulent fin du XVIIII siècle, à l'époque du début du cinémascope, kinéscope, bref tout ce qui est scope. Nos héros croisent la Goulue, Mistinguet, Le petit Sacha Guitry, Gaston Leroux qui rêve d'écrire un roman, le peintre Zorn, de nombreux personnages qui connaissent ou rêvent de gloire.  Pas une minute à perdre, il faut poursuivre ces ombres noires tapies dans l'ombre.

Brigitte Aubert ayant plusieurs cordes à son arc, mon prochain policier est également écrit de sa main mais apparemment n'a aucun rapport avec cette agréable série.

C'est l'automne sur la petite ville de Fjallabacka. Le corps d'une enfant noyée est repêchée. Patrik, père d'une petite Maya, reconnait le cadavre : la fillette de Charlotte l'amie d'Erica, Sara.

Il est chargé de prévenir les parents. La maman de Charlotte, Lilian,  s'empresse de dénigrer leur voisin qu'elle déteste. De plus ce ne peut-être que le fils de cette maison, un idiot notoire qui est l'assassin.

Lors de l'examen du légiste, il est découvert que Sara n'a pas été noyée dans la mer mais dans une baignoire car ses poumons contiennent de l'eau douce et du savon, et chose étrange, on y découvre également après d'autres investigations de la suie.

Patrik mène l'enquête pendant qu'Erica se noie dans le baby blues. Derrière les façades de cette petite ville se cachent beaucoup de secrets.

Des trois romans édités de Camilla Lackberg, ce dernier est le meilleur. Du genre qu'on a difficile à lacher.

D'un chapitre à l'autre nous passons du présent au passé car la vérité se cache bien loin de notre horizon.

C'est par le plus grand des hasards, que Versavel et son collègue découvrent le cambriolage de la bijouterie du fils De Groof. En plein centre de Bruges.

A leur grand étonnement, ils constatent en compagnie de la sexy substitut Heléonore, que cambriolage il ne faus plus y penser. Les bijoux ont été plongés dans une substance qui en dissous les différents métaux.

Van In se voit confier l'enquête avec l'ordre de ne pas faire de vague. La famille De Groof est très influente à Bruges.

Une enveloppe contenant un message codé des templiers est découverte fortuitement.

Cela fait longtemps que je tourne autour des romans de¨Pieter Aspe. Un auteur de mon pays, un roman qui se déroule chez nous bof bof. Pas bof bof, je l'ai dégusté.

Pieter Aspe égratigne tout le monde, la police, la gendarmerie, les politiciens (d'ailleurs je me demande pourquoi je m'oblige encore à me rendre au bureau de vote), la belle société flamande...

Van In aime la bière, les femmes et il fume comme un pompier. Un commissaire typiquement belge.

Le fin mot de l'intrigue se cache dans les toutes dernières lignes. Jusqu'au bout Pieter Aspe se joue de nous....

Trois cadavres découverts dans une épicerie d'un quartier sensible. Tous défigurés! Erik Winter revenant de vacances est dépêché sur place. Un chauffeur de taxi a trouvé les corps. Rien vu ni entendu sauf...comme un bruit de pas, de petit pas.

L'enquête débute et déjà un autre cadavre fait son apparition. Une femme, dans son appartement.

Les quatre victimes faisaient partie de la communauté kurde de Gotteborg. L'enquête s'avère assez rude. Le silence est d'or chez les réfugiés.

Près des immeubles du quartier nord, près de l'épicerie, Erik Winter observe un petit garçon à vélo qui fuit à son approche...

Ake Edwardson nous démontre que tout n'est pas si rose au Royaume de Suède.  Comme partout ailleurs, la Suède est confrontée aux meutres, à la drogue, au vol, à la prostitution...Dans ce roman, il nous promène au milieu d'une communauté qui parle à mots couverts car l'uniforme tarit les paroles.

Chez Edwardson, à la différence des autres auteurs de polars du froid, le héros Erik Winter mène une vie de famille plus ou moins régulière, pas de confrontation avec les enfants car c'est un tout jeune père. Il est moins tourmenté que tous les autres commissaires que mes lectures m'ont déjà fait croiser.

J'avoue un petit penchant appréciable pour cet auteur.