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Les couleurs de la vie
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27 novembre 2008

John Frederik Peto

peto1hohn_frederik

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27 novembre 2008

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27 novembre 2008

Eva Gonzales

gonzales1eca

27 novembre 2008

Préparatifs

Hier matin, je suis donc descendue vers la Grand Place de Bruxelles

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Le sapin trônait en son centre. On commençait à le parer de son habit de fête.

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Certains magasin n'étaient pas en reste

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Et je suis partie au travail.

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26 novembre 2008

On ne peut pas dire que le soleil aie envie de

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On ne peut pas dire que le soleil aie envie de pointer un bout de nez en ce moment. Il a peut-être envie de se reposer bien au chaud dans le nuages.

Le sapin de Noêl est arrivé sur la Grand Place de Bruxelles. Ce matin avant le travail, comme un désir d'aller le découvrir...

Bon mercredi! Bisous.

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26 novembre 2008

Gordon Parks

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La vie se déroule devant nous comme un album photo.

Les multiples couleurs du

temps font virevolter une valse de souvenirs intimes.

Marie-Claude Pietragalla ]

26 novembre 2008

Les oies sauvagesTout est muet, l'oiseau ne jette

Les oies sauvages

Tout est muet, l'oiseau ne jette plus ses cris.
La morne plaine est blanche au loin sous le ciel gris.
Seuls, les grands corbeaux noirs, qui vont cherchant leurs proies,
Fouillent du bec la neige et tachent sa pâleur.

Voilà qu'à l'horizon s'élève une clameur ;
Elle approche, elle vient, c'est la tribu des oies.
Ainsi qu'un trait lancé, toutes, le cou tendu,
Allant toujours plus vite, en leur vol éperdu,
Passent, fouettant le vent de leur aile sifflante.

Le guide qui conduit ces pèlerins des airs
Delà les océans, les bois et les déserts,
Comme pour exciter leur allure trop lente,
De moment en moment jette son cri perçant.

Comme un double ruban la caravane ondoie,
Bruit étrangement, et par le ciel déploie
Son grand triangle ailé qui va s'élargissant.

Mais leurs frères captifs répandus dans la plaine,
Engourdis par le froid, cheminent gravement.
Un enfant en haillons en sifflant les promène,
Comme de lourds vaisseaux balancés lentement.
Ils entendent le cri de la tribu qui passe,
Ils érigent leur tête ; et regardant s'enfuir
Les libres voyageurs au travers de l'espace,
Les captifs tout à coup se lèvent pour partir.
Ils agitent en vain leurs ailes impuissantes,
Et, dressés sur leurs pieds, sentent confusément,
A cet appel errant se lever grandissantes
La liberté première au fond du coeur dormant,
La fièvre de l'espace et des tièdes rivages.
Dans les champs pleins de neige ils courent effarés,
Et jetant par le ciel des cris désespérés
Ils répondent longtemps à leurs frères sauvages.


Guy de Maupassant







26 novembre 2008

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26 novembre 2008

Garreta

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26 novembre 2008

Arthur Bowen Davies

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