/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F42%2F27%2F535483%2F56250470_o.jpg)
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F48%2F90%2F535483%2F56215836_o.jpg)
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F74%2F82%2F535483%2F44430628_o.jpg)
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F93%2F11%2F535483%2F65737039_o.jpg)
/https%3A%2F%2Fstorage.canalblog.com%2F71%2F65%2F535483%2F81590118_o.jpg)
/https%3A%2F%2Fprofilepics.canalblog.com%2Fprofilepics%2F4%2F5%2F459116.jpg)
12 novembre 2013
Partager cet article
Publicité
11 novembre 2013
Nous entrons en agonie. L'attaque est certaine.
Nous entrons en agonie. L'attaque est certaine. Surtout je ne dois pas penser... Que pourrais-je envisager? Mourir? Je ne veux pas l'envisager. Tuer? C'est l'inconnu et je n'ai aucune envie de tuer. La gloire? On n'acquiert pas de gloire ici, il faut être plus en arrière. Avancer de cent, deux cents, trois cents mètres dans les positions allemandes? J'ai trop vu que cela ne changeait rien aux événements. Je n'ai aucune haine, aucune ambition, aucun mobile. Pourtant je dois attaquer", Gabriel Chevallier,La Peur (1930)
Partager cet article
Publicité
Publicité