1 novembre 2010
En sortant du métro, comment ne pas succomber à la marche
du grand Charles
Mais un certain Claude m'attendait ...
Je n'étais pas la seule...
Deux heures plus tard, un italien me faisait signe de l'autre côté du boulevard
Monet c'était fabuleux mais trop fatiguée ce samedi soir pour vous raconter.
Au petit palais, endroit que j'admire et qui me fascine, j'ai pu m'émerveiller devant les toiles d'un peintre qui connut Monet, que j'aime énormément également.
Mais pourquoi cours tu Winston ?