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Les couleurs de la vie
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15 février 2011

J'avoue, j'adore photographier les humains autant que les palmipèdes

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14 février 2011

Que faire un dimanche bien gris ?

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Au bord du canal pardi! Et pendant que je photographie tout ce qui vole, Mister chien peut baguenauder à son aise. Il prend ses aises, sa maîtresse passe quand même tout son temps à photographier ces volatiles qui l'indifférent totalement sauf quand il pique une petite crise de jalousie et se met à aboyer mais c'est très rare...

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Le nom de ce canard m'est complètement inconnu. Il était perdu au milieu des colverts.Il serait temps que je me procure un livre sur la question canards.

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Sans oublier, le pourfendeur des flots

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Même pas une petite miette ?

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14 février 2011

Childe Hassam

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14 février 2011

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14 février 2011

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13 février 2011

Un grand merci pour tous vos mots emplis d'une si grande gentillesse

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Que ces modestes roses vous emportent dans un magnifique dimanche. Bisous.

13 février 2011

Alexandra Guryava Sazhaeva

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12 février 2011

Il fait nuit, nos regards ont les yeux de ceux

Il fait nuit, nos regards ont les yeux de ceux qui attendent...
Dans la nuit, les étoiles scintillent ça et là...
Trempé des larmes de peine et de souffrances
Mon lit se trouve comme posé sur des flammes...
Arrosé du courage un rien devient perle
S'il atteint le courant de ma volonté.
A l'image d'un jardin à l'approche du printemps.

poète afghan

De tant de visages brûlés par le vent, par le soleil,

De tant d’hommes déshonorés, désespérés

Qui rentrent avec une brassée de faim,

Avec un fardeau de plaies,

De quelque chose qui ressemble aux pleurs ,

De quelque chose qui ressemble au sang,

De quelque chose qui ressemble à Kaboul

Je dois écrire.

Latif Pedram

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photo prise sur le net

Plus de photos ici

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Afghanistan

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Ils peuvent tuer toutes les hirondelles, ils n'empêcheront pas la venue du printemps.  Proverbe afghan

12 février 2011

L'homme de Kaboul de Cédric Bannel

Je tiens d'abord à remercier Violette de Canablog ainsi que les Editions Laffont d'avoir été choisie pour lire les épreuves du roman qui ne sortira que le 03 mars en librairie.

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A des milliers de kilomètres, Nick à Berne et Oussamad à Kaboul vont être confrontés à une aventure qui va ne leur laisser aucun répit.

Oussama est prévénu qu'un homme s'est suicidé. Il s'agit de Wali Wadi, un trafiquant notoire de Kaboul, communiste de surcroit. Dès le début, Oussama ne croit pas au suicide, Wali Wadi a été assassiné mais il doit le prouver. Très vite, il constate qu'on ne voit pas d'un très bon oeil, l'enquête qu'il veut mener. Lorsqu'un de ses coéquipiers est assassiné lors d'un attentat, il comprend qu'on préférérait qu'il soit plus mort que vif.

Nick, travaille à Berne pour l'Entité. Une sorte d'association qui se cache sous de faux noms derrière laquelle se terre une terrible organisation qui surveille le monde. Un banquier de  Willard Consulting est en fuite au grand dam de tous.

Nick et son coéquipier Werner sont prévenus par une taupe que l'homme se cache dans un immeuble désaffecté dans lequel vivent des drogués. Werner propose de s'y rendre même si c'est interdit. L'équipe de force K va investir les lieux mais Werner veut absolument y aller.

Tout va mal tourner. Werner est tué par un de K sans sommation. La banquier est en fuite. Nick récupère juste un cd qui se nomme Mandrake et sur lequel sont inscrits un nombre d'iinitiales : le dossier Mandrake.

Nick et Oussama se dirigent sans le savoir vers le même but, aussi têtus l'un que l'autre au nom des équipiers qui ont été tués. Leurs chemins se rejoindront à Kaboul...

Le personnage central Oussama est très attachant. Il essaie de pratiquer son métier avec les moyens du bord, en restant intègre. Il est croyant. Sa femme Malalai est la seule et unique. Elle travaille à l'hopital etle féminisme coule dans ses veines, elle aimerait tant aider les femmes de son pays. Leurs enfants vivent en Occident. Oussama est respecté car il a combattu aux côtés de Massoud et c'est ce petit plus je pense qui me l'a fait tant aimer ainsi que sa tolérance.

"Oussama déplia son tapis au milieu du bureau et se livra à sa prière rituelle, invoquant la miséricorde d'Allah, sus le regard de ses adjoints.Gulbudin et Brabak n'étaient pas pieux pour des raisons différentes. Gulbudin, car au fond de lui il était un laîc convaincu qui regrettait le temps du gouvernement communiste. Babrak parce que, comme beaucoup de jeunes de sa génération, il préférait écouter de la musique occidentale, s'amuser avec ses amis et surfer sur Internet que prier un Dieu qui avait abandonné son pays depuis belle lurette. Oussama s'en accomodait, lui dont la foi était profonde.

Cédric Bannel nous transporte dès les premières pages dans une aventure policière très dense. Il ne laisse au lecteur aucun instant de répit.

A travers son roman nous suivons ses personnages dans un pays très complexe, tel est l'Afghanistan mais il reste objectif à tout moment. Tant au niveau des occidentaux que des Afghans, le bien et le mal se cotoient. Il ne prend parti pour aucun camp, il tente de nous faire comprendre cette complexité que nous occidentaux ne comprenons pas toujours avec nos idées de société conforme à ce que nous pensons être le meilleur.

Je terminerai en remerciant Cédric Bannel pour ce merveilleux roman mais surtout pour cette ouverture vers les portes de l'Afghanistan actuel.

12 février 2011

Stephanie Lambourne

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