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Les couleurs de la vie
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22 novembre 2014

Le bonheur de l'automne

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22 novembre 2014

Dans le soleil d'automne

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20 novembre 2014

Charlotte de David Foenkinos

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Charlotte Salomon ne sait rien des suicides qui entourent la famille de sa grand-mère. Sa tante Charlotte dont elle porte le prénom car sa mère adorait sa soeur s'est donné la mort ainsi que tant d'autres de ce côté familial. Sa mère elle même se suicide mais Charlotte étant enfant, on le lui cache et c'est son grand-père lorsqu'elle sera devenue adulte qui lui crachera la vérité après la tentative  suicidaire de sa grand-mère. 

Charlotte mourra dans une chambre à gaz avec l'enfant qu'elle portait. 

Charlotte n'aura vécu que 26 ans mais combien d'années de bonheur durant ce petit nombre d'années ?

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Charlotte vit à Berlin. Elle n'est qu'une enfant lors de la mort de sa mère. Elle est d'abord confiée à ses grands-parents Son père éminent chirurgien  va engager une nounou qu'elle adore. 

Son père se remarie avec une chanteuse d'opéra Paula que Charlotte aime dès le premier instant.

Le désir de la jeune fille est d'intégrer l'école des Beaux Arts. Elle est acceptée car son professeur perçoit un véritable talent mais avec la haine qui monte contre les juifs elle est priée de se faire la plus silencieuse possible. Etrangement sa meilleure amie sera une pure aryenne. 

Un homme va transformer la vie de Charlotte, Alfred. Il donne des cours de chant à sa belle-mère. Elle en tombe éperdument amoureuse. Elle n'en parle à personne. Il parle de sa liberté, il l'écoute, il aime ses peintures...Il croit en elle.

Un autre événement va bouleverser sa vie. Elle gagne le concours organisé par les Beaux Arts mais 1938 n'augure rien de bon pour les juifs. C'est son amie Barbara qui recevra le prix à sa place ainsi l'honneur est sauf. Usurpation de peintre tout simplement. 

Le père de Charlotte va connaitre l'emprisonnement dans les camps. Sa belle-mère va se battre pour qu'il soit libéré. 

A son retour affaibli, il n'a qu'une idée : Charlotte doit retrouver ses grands-parents en France. Là-bas elle sera sauve. Charlotte amoureuse d'Alfred refuse mais son père insiste et la jeune fille part pour Villefranche sur mer. Elle ne reverra jamais Alfred.

En France, elle affrontera la mort de sa grand-mère, un grand-père qui leur repproche leur malheur. Ils vont être internés dans un camp. Ensuite relâchés

C'est un médecin qui va la prendre sous son aile et l'empêcher de sombrer dans la dépression : le Docteur Moridis. Charlotte va comprendre que sa seule échappatoire est de peindre et encore peindre toute sa vie pour effacer la folie.

C'est au docteur Moridis qu'elle confiera toutes ses oeuvres pressentant le malheur qui commence à l'encercler.

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Charlotte c'est la rencontre entre un écrivain et une femme peintre. Partir sur ses pas, tenter de comprendre, détricoter l'ouvrage. 

L'écriture de David Foenkinos est faite de petites phrases, pas de temps mort. Les événements se succèdent, l'écriture file car 26 années c'est tellement peu dans une vie. De temps en temps l'écrivain s'immisce dans la vie de Charlotte pour que l'on puisse comprendre ce choc qu'il a ressenti en découvrant les tableaux lors d'une exposition. 

Il n'y a pas de temps à perdre, raconter, encore raconter comme si le malheur n'avait pas de sens, pour ne jamais oublier Charlotte. Les mots s'enchainent et la fin est inéluctable. 

Magnifique, émotionnel. Premier roman de David Foenkinos que je découvre. Jamais je n'oublierai Charlotte.

 

"Quelque chose la retient.

C'est une force derrière elle.

Elle a presque l'impression qu'on l'appelle

Happée, elle se retourne.

Et découvre l'éclat majestueux de la Méditérranée.

Charlotte n'a jamais rien vu d'aussi beau"

 

 

 

 

20 novembre 2014

Crissement

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20 novembre 2014

A travers le temps

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18 novembre 2014

Le chat qui mangeait de la laine de Lilian Jackson Braun

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Poursuivant ma lecture des aventures « Le Chat » j’en suis déjà au troisième volet. Rassurez-vous, je ne ferai pas un post de chaque livre, vous en auriez une indigestion.

 

Nous retrouvons  dans ce deuxième opus, comme de bien entendu notre ami Jim Qwilleran qui a adopté Koko suite à la mort de son maître.

 

Gros problème, Jim doit songer à déménager et aimerait également abandonner la rubrique des Beaux-Arts. Son patron lui propose de réaliser des reportages pour une nouvelle revue « le gai logis ». Jim est donc prié de découvrir des maisons magnifiquement décorées lui qui n’a jamais évolué dans ce monde.

 

Il faut bien vivre donc Jim accepte et rencontre un décorateur David Lyke qui lui propose de réaliser un reportage sur la maison des Tait. 

 

Rendez-vous est pris Jim et le photographe Odd Bunsen se rendent dans cette magnifique demeure.

 

En fait, Monsieur Tait est un adorateur du jade, il en a pour des millions dans la maison.

 

Durant leur reportage, Jim et Odd sont invités à rencontrer la femme de Tait, Maggy Swamp, femme paralysée et acariâtre. Elle possède une chatte siamoise qu’elle ne cesse de houspiller.

 

Le lendemain de la parution de l’article dans le journal, Tait se fait dérober sa collection de Jade et sa femme est assassinée. Premier suspect, le domestique Paolo….

 

Peu après, David Lyke est découvert également assassiné par Koko. 

 

 

Tout se met en place dans ce deuxième livre : Koko frisant une crise de neurasthénie solitude, Jim décide d’adopter la chatte siamoise de Madame Tait. Il lui donne le nom de YomYom.

Le trio est bien campé pour la suite des aventures qui se déroule dans un village de brocante.

 

 

 

18 novembre 2014

Le tableau du mardi

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18 novembre 2014

Tapis de rêves

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18 novembre 2014

En avant….

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17 novembre 2014

Le chat qui lisait à l'envers de Lilian Jackson Braun

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En cet automne durant lequel les feuilles tombent en rafale, une envie de relire encore une fois les aventures « Le chat » de Lilian Jackson Braun. Certains épisodes ont déjà été lus et relus mais je me délecte à chaque fois.

 

Le chat qui lisait à l’envers en est le premier.


Nous faisons la connaissance de Jim Qwilleran qui fut un excellent chroniqueur par le passé mais un divorce, une propension pour la boisson l’avaient chassé des salles de rédaction.

 

Mais comme on ne vit pas que d’amour et de jus de tomates, boisson à présent préférée dudit reporter, Jim se présente au Daily Fluxion. On lui propose un poste de critique d’art, lui qui n’y connait rien et cerise sur le gâteau, de l’art contemporain.

 

Il accepte sans enthousiasme et retrouve un vieil ami Riker qui travaille également au Daily Fluxion.

 

Jim apprend qu’un autre critique d’art hai ou adoré sévit dans les pages du journal Georges Bonifield Moutclemens. 

 

Jim visite un peintre, une galerie et peu à peu s’initie à cet étrange milieu artistique mais il aimerait vraiment rencontrer son confrère qui accepte à la surprise de tout le monde.

 

L’homme reçoit Jim avec élégance et lui présente son magnifique siamois Koko qui lit les manchettes des journaux à l’envers. 

 

Le tout va se corser quand trois meurtres seront commis l’un à la suite de l’autre dont Moutclemens fait partie. 

 

Jim occupant un appartement dans l’immeuble du critique assassiné, va mener l’enquête avec

l’aide de Koko.

 

 

 

A suivre….je débute « Le chat qui mangeait de la laine »

 

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