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Les couleurs de la vie

Les couleurs de la vie
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13 décembre 2010

Si tu ne trouves pas le bonheur, c'est peut-être

Si tu ne trouves pas le bonheur,
c'est peut-être que tu le cherches ailleurs...
Ailleurs que dans tes souliers.
Ailleurs que dans ton foyer.

Selon toi, les autres sont plus heureux.
Mais, toi, tu ne vis pas chez eux.
Tu oublies que chacun a ses tracas.
Tu n'aimerais sûrement pas mieux leur cas.

Comment peux-tu aimer la vie
si ton coeur est plein d'envie,
si tu ne t'aimes pas,
si tu ne t'acceptes pas ?

Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute,
c'est de rêver d'un bonheur trop grand.
Sache cueillir le bonheur au compte-gouttes:
ce sont de toutes petites qui font les océans.

Ne cherche pas le bonheur dans tes souvenirs.
Ne le cherche pas non plus dans l'avenir.
Cherche le bonheur dans le présent.
C'est là et là seulement qu'il t'attend.

Le bonheur, ce n'est pas un objet
que tu peux trouver quelque part hors de toi.
Le bonheur, ce n'est qu'un projet
qui part de toi et se réalise en toi.

Il n'existe pas de marchands de bonheur.
Il n'existe pas de machines à bonheur.
Il existe des gens qui croient au bonheur.
Ce sont ces gens qui font eux-mêmes leur bonheur.

Si, dans ton miroir, ta figure te déplaît,
à quoi te sert de briser ton reflet ?
Ce n'est pas ton miroir qu'il faut casser.
C'est toi qu'il faut changer !

Charles-Eugène PLOURDE,

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12 décembre 2010

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12 décembre 2010

Lemmen

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12 décembre 2010

Lisa Graa Jensen

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12 décembre 2010

Et deux en plus....

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11 décembre 2010

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11 décembre 2010

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11 décembre 2010

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11 décembre 2010

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11 décembre 2010

On est d'abord touché par un silence qui repose

On est d'abord touché par un silence qui repose sur

toute l'étendue du pays. Sur les vastes plateaux recouverts

d'amandiers à l'époque où les arbres sont en fleur,

on entend à peine le bruit des abeilles.

On peut marcher des journées entières seul avec soi-même,

dans une joie, un ordre, un équilibre, une paix incomparables.

Non pas tous à la fois, mais un à un, vous laissant

toujours un ami végétal et fleuri qui vous accompagne

un peu plus loin puis vous laisse, vous ayant confié

à un autre, et ainsi la terre peu à peu monte et vous

fait pénétrer dans le ciel à mesure que vous passez

des bras de l'amandier aux mains des tilleuls, puis

des châtaigniers, puis des trembles et alors l'ondulation

des terres vierges toutes nues se compose devant vous

avec les lentes harmonies d'une ivresse divine.

Jean Giono

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