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Les couleurs de la vie

Les couleurs de la vie
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6 décembre 2010

Comme la traversée du traghetto Comme la

Comme la traversée du traghetto

Comme la traversée du traghetto
A bras d’homme,
Quand l’eau jaillie freine les pas,
Si la marée s’est emportée,
Pour le temps de cheminer, d’improviser d’apprivoiser,
Comme le demi-tour d’un bateau chargé,
La vie jour par jour de sa fenêtre, un sentiment qui adoucit les ans,
Quand les enfants dessinent appliqués sur le pavé,
Quand l’eau a tous les droits
lentement,
l’on va.


Camille de Longvilliers

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5 décembre 2010

La douce tranquiliité des samedis Alexander McCall Smith

Isabelle Dalhousie a tout pour être heureuse. Directrice d'une revue philosophique, maman d'un petit Charlie dont le papa est un homme plus jeune qu'elle, ce qu'il n'empêche qu'ils s'aiment malgré le regard de certains. Bon bref, elle a tout pour couleur des samedis tranquilles. Malheureusement Isabelle est une invétérée mêle tout.

Lors d'un repas mondain, son voisin de table lui indique une femme seule assise plus loin. Il lui avoue que le mari de cette femme n'ose plus sortir de chez lui tant il à honte.

Peu de temps après ce dîner, la femme qui se nomme Stella rend visite à Isabelle...

L'histoire se déroule comme dans les chroniques d'Edimbourg à Edimbourg il va s'en dire. Si vous buvez du petit lait en lisant les chroniques qui débordent  d'humour, vous serez un peu désarçonné au début car d'humour ici il n'y en a point. Par contre, l'héroîne ne cesse de penser philosophiquement. L'écriture en fait est plus poétique à mons sens que dans les chroniques. J'adhère à 100 %.

A lire lors de la tranquillité d'un samedi.

samedi

5 décembre 2010

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5 décembre 2010

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5 décembre 2010

Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé…Ma

Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé…

Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé,
Étant femme, se sent reine ; tout l'A B C
Des femmes, c'est d'avoir des bras blancs, d'être belles,
De courber d'un regard les fronts les plus rebelles,
De savoir avec rien, des bouquets, des chiffons,
Un sourire, éblouir les coeurs les plus profonds,
D'être, à côté de l'homme ingrat, triste et morose,
Douces plus que l'azur, roses plus que la rose ;
Jeanne le sait ; elle a trois ans, c'est l'âge mûr ;
Rien ne lui manque ; elle est la fleur de mon vieux mur,
Ma contemplation, mon parfum, mon ivresse ;
Ma strophe, qui près d'elle a l'air d'une pauvresse,
L'implore, et reçoit d'elle un rayon ; et l'enfant
Sait déjà se parer d'un chapeau triomphant,
De beaux souliers vermeils, d'une robe étonnante ;
Elle a des mouvements de mouche frissonnante ;
Elle est femme, montrant ses rubans bleus ou verts.
Et sa fraîche toilette, et son âme au travers ;
Elle est de droit céleste et par devoir jolie ;
Et son commencement de règne est ma folie.


Victor Hugo
L'art d\'être grand-père

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5 décembre 2010

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5 décembre 2010

Neigitude

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4 décembre 2010

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4 décembre 2010

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4 décembre 2010

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