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Les couleurs de la vie

Les couleurs de la vie
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26 août 2009

Henry Golden Dearth

henry_golden_daerth

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26 août 2009

Un petit coin de Bruxelles que je ne connaissais

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Un petit coin de Bruxelles que je ne connaissais pas. Mais le temps de deux photos car une autre photographe me fusillait du regard alors je me suis éclipsée. J'y retournerai...

25 août 2009

Redemption Falls Joseph O'Connor

Cela se présente comme un puzzle, dont les pièces sont toutes éparpillées. Peu à peu, on devine les contours, on assemble, tout devient clair.

La pièce centrale est James O'Keefe, Irlandais, condamné à mort dans son pays, évadé, vivant d'abord en Australie puis gagnant les USA où il va s'illustrer durant la guerre de Sécession, puis hai et abandonné comme gouverneur des territoires. Cette pièce colle à celle de Lucia qu'il a épousée. Elle le rejoint à la fin de la guerre dans ces terres arides. Leur couple n'en est déjà plus un après avoir été séparés de longues années.

De petites pièces glissent entre les mains sans  savoir où les placer. Eliza Dune Mooney qui parcourt à pieds les USA depuis la Louisiane pour retrouver son jeune frère. Cette dernière pièce qui est le pivot de l'histoire est déjà imbriquée dans celle de O' Keefe pendant qu'Eliza marche marche sans trêve.

Petit à petit le puzzle se découvre, chaque pièce trouve sa place, chacun suit son destin.

joseph

J'ai découvert Joseph O Connor à travers son roman l'Etoile des mers où il retraçait la misère qui avait poussé bon nombre d'Irlandais à s'enfuir vers la terre promise.

Dans ce deuxième roman, les irlandais vivent aux USA et font partie de son Histoire avec la guerre de Sécession. Il est différemment écrit car c'est un mélange de lettres, de témoignages, de parties romancées mais tout aussi beau.

25 août 2009

Louis Dericks

louis_dericks

25 août 2009

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24 août 2009

Les déferlantes Claudie Gallay

Ce sont les photos magnifiques de Bellesahi et le fait de l'avoir aperçue à la télévision gallay

qui m'ont donné cette envie de repartir au gré des pages

d_ferlantes

Je l'avais abandonné en hiver. Le soleil a illuminé cette nouvelle lecture.

Je ne dévoilerai pas l'histoire, je ne décortiquerai pas les personnages, d'autres l'ont fait bien avant moi..

A ma première lecture j'avais noté cet extrait que je trouve toujours aussi beau

"Lambert était assis au soleil, le dos contre la digue. Je n'ai pas été étonnée de le voir là. Sa maison n'était toujours pas vendue. Il ne semblait pas pressé de partir. Je savais que l'on pouvait rester très longtemps comme ça , les yeux dans la mer, sans voir personne.  Sans parler. Sans même penser. Au bout de ce temps, la mer déversait en nous quelque chose qui nous rendait plus fort. Comme si elle nous faisait devenir une partie d'elle. Beaucoup de ceux qui vivaient cela ne repartaient pas"

Je suis rerentrée à petits pas dans cette deuxième lecture, doucement. Dégusté chaque mot. Quand je l'ai terminé, j'ai su que je le relirais encore et encore. Il fait partie des livres, de ces livres dont on ne peut se détacher.

24 août 2009

goings5

24 août 2009

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24 août 2009

Léon Delachaux

l_on_delachaux

24 août 2009

Le brouillard a tout mis dans son sac

est la seule phrase que j'ai retenue de tous les poèmes ingurgités de Maurice Carême durant mes années de primaire. Dans les années soixante et septante, c'était le grand Poète par excellence dans les écoles catholiques du Royaume. On nous le faisait avaler à toutes les sauces.

Comble d'ironie, à l'âge de 20 ans, j'ai déménagé avec mes parents, soeur et frère, dans sa ville natale. Depuis, il me nargue à chaque coin de rue. Se vengerait-il ?

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Titillée par la collection des bancs de Plume, j'ai constaté dimanche matin que dans  ..cette ville très fleurie, les bancs étaient pour la plupart ronds.

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Quelques uns conservent encore un aspect classique.

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Et comme je ne suis pas rancunière

Le brouillard a tout mis
Dans son sac de coton ;
Le brouillard a tout pris
Autour de ma maison.

Plus de fleurs au jardin,
Plus d'arbres dans l'allée ;
La serre du voisin
Semble s'être envolée.

Et je ne sais vraiment
Où peut s'être posé
Le moineau que j'entends
Si tristement crier.

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