3 novembre 2010
Je ne veux surtout pas conduire ma vie Je veux
Je ne veux surtout pas conduire ma vie
Je veux l’habiter
Comme un train fantôme
Qui traverse le rêve d’un enfant fou
Je veux mettre l’impossible
Dans mon sac à main
Entre poudre de riz et menue monnaie
Manier les vérités premières
Comme quelques grains de sable
Cette poussière qui déjà se devine
Sous la chair joyeuse
Et la peau satinée
D’aujourd’hui.
Irène STECYK
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