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Les couleurs de la vie
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7 novembre 2016

Une illusion d'optique de Louise Penny

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C’est le plus beau jour de la vie de Clara Morrow, enfin cela devrait l’être mais elle angoisse en vue de l’exposition de ses tableaux au MAC de Montréal. Vont-ils tous se moquer d’elle ? ou applaudir ?

 

Ils sont nombreux : ses amis de Three Pines, Gamache, Beauvoir ainsi que des galeristes, des critiques d’art, des artistes également.

 

Le lendemain, après avoir terminé la soirée chez elle et Peter avec tous leurs invités, Clara attend avec anxiété ce que vont  révéler les critiques dans les journaux. 

 

Malheureusement, le bonheur est très vite perturbé par le corps d’une femme retrouvée la nuque brisée dans un de ses plate bandes. 

 

Gamache  arrive sur les lieux accompagné de Beauvoir bien entendu et de Lacoste. L’enquête peut commencer.

 

Il s’avère que la femme assassinée est une ancienne critique d’art dont les propos étaient souvent très mal ressentis par les artistes. De plus, Clara leur avoue que ce fut sa meilleure amie durant des années jusqu’au jour où elle compris qu’elle était néfaste pour elle.

 

Gamache va découvrir le monde qui gravite autour des artistes. Un monde assez perfide surtout entre galeristes.  

 

 

Chaque année, j’attends avec impatience le retour d’Olivier et Gabri patrons du bistrot et du gite de Three Pines, de Myrna la libraire bibliothécaire, de Clara et Peter les artistes ainsi que de Ruth la poétesse damnée. Sans oublier naturellement le voyage vers Three Pines, cet village que l’on ne trouve sur aucune carte mais si vous avez de la chance….

 

Mais surtout Gamache, l’homme au regard bienveillant sur les êtres et les choses. 

 

Dans ce dernier roman, il est confronté au désarroi de Beauvoir depuis qu’ils ont tous failli être tués. Olivier lui pardonnera t-il de l’avoir envoyé en prison ? Et que penser de ces alcooliques anonymes durant son enquête ?

 

Pour retrouver la sérénité, il se lève quand tout le monde est enfoui dans son lit et parcourt le village de Three Pines dans la solitude de la nuit. 

 

A l’année prochaine Monsieur Gamache.

 

 

 

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2 septembre 2016

Remède de cheval de M.C. Beaton

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A peine terminée le premier, j'ai entamé les nouvelles aventures d'Agatha Raisin. Cette dernière revient de vacances où elle espérait rencontrer son voisin James Lacey pour qui elle a le béguin mais voilà fine mouche l'homme s'est rendu en Egypte.

Contrariée, elle revient dans son petit village de Carsely, inquiète de retrouver son chat Hodge qu'elle avait mis en pension. 

Pas de James encore à l'horizon mais un nouveau vétérinaire qui est pas mal

Ledit vétérinaire charmeur à souhait mais assez brute avec les animaux domestiques succombe sous l'injection d'un tranquillisant qui devait être administré au cheval qu'il devait soigner.

James croyant qu'Agatha n'est plus amoureuse de lui, propose qu'ils mènent l'enquête tous les deux. 

L'inspecteur Bill Wong les observe de loin. D'autant plus qu'un second meurtre est commis sur la bibliothécaire du village.

 

Une série qui me plait merveilleusement. Pas besoin de se creuser les méninges, on se laisse porter par l'énergie d'Agatha et celle de James bien entendu bien plus flegmatique.

 

2 septembre 2016

La quiche fatale de M.C. Beaton

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Agatha Raisin a décidé de prendre sa retraite dans un village divin de la campagne anglaise. Elle a revendu sa société. Elle a fait appel à des décorateurs pour meubler son nouveau cottage. Et hop elle quitte Londres sans regret. Mais voilà, après la vie trépidente qu'elle a connue, la campagne à un léger parfum d'ennui. De plus, elle peine a se faire des amis, il faut dire qu'elle a un sacré caractère. Elle lit la pile d'Agatha Christie qu'elle a emmenée mais après  ? Que faire ? Jusqu'au jour, où un homme meurt après avoir mangé une part de la quiche aux épinards qu'elle avait présentée à un coucours du village.

Agatha est persuadée que c'est un meurtre. Rien ne peut l'arrêter. 

 

En cette fin d'été, quel plaisir de s'évader dans la campagne anglaise en compagnie d'Agatha. Même si elle porte le même prénom, ce n'est pas du Christie loin s'en faut mais on ne boude pas une lecture pétillante.

Au suivant...

 

 

13 juillet 2016

Du sang sur la Baltique de Viveca Sten

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C’est une nouvelle période estivale qui s’ouvre sur l’île de Sandham.

 

Le soleil est au zénith. C’est le départ pour tous les bateaux alignés pour la coupe du Tour du Gotland. 

Oscar Juliaender, le vice-président du yacht club royal est prêt à bord de son Swan. Cette année il l’aura sa coupe. 

 

Prêt au départ mais malheureusement Oscar est tué par une balle qui s’avérera d’après l’enquête correspondre à  celle d’un fusil de chasse par surcroit.

 

Thomas Andreasson est bien entendu chargé de l’enquête avec son équipe. Cela fait un an qu’il vit une aventure avec Carina et ne sait comment lui annoncer qu’il n’a pas envie de continuer plus loin avec elle dans la vie. 

 

Nora est à nouveau sur l’île pendant les vacances. Elle a hérité de la maison voisine et ne veut absolument pas la vendre même si son mari Hendrik le désire. D’ailleurs ce dernier a bien changé… 

 

Beaucoup de secrets ont être dévoilés durant l’enquête sur le bel Oscar : infidèle, cocaïnomane et très riche ce qui titille les inspecteurs.

 

Thomas et Margit sa collègue sont très intrigués par le compte à l’étranger. C’est Nora avec ses capacités de juriste qui va lever un coin du voile.

 

Un deuxième assassinat est commis malheureusement, à nouveau avec un fusil de chasse.

 

 

Toujours aussi emballée par la série, je suis déjà plongée dans le troisième volume paru en poche. 

 

11 juillet 2016

La reine de la Baltique de Viveca Sten

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Nora Lindle est heureuse d’être en vacances su l’île de sa jeunesse : Sandham. C’est sur cette île au large de Stockholm qu’elle a grandi et qu’elle a partagé tant de moments avec son ami Thomas Andreasson qui est devenu policier.

 

Nora a épousé un radiologue Henrik, maman de deux petits garçons Simon et Adam, est vraiment heureuse de ces moments en famille même si son mari passe trop de moments sur son bateau car c’est une période de régates. De plus, elle ne supporte pas ses beaux parents qui sont assurément très snobs, surtout sa belle mère. Juriste dans une grande banque, elle savoure ces heures de farniente malgré qu’elle doive  se lever tôt pour conduire ses fils à la piscine chaque matin.

 

Thomas quant à lui se noie dans le travail et ne pense qu’aux vacances qu’il va pouvoir enfin prendre sur l’île de Farjo, là il se sent enfin face à lui même dans sa petite maison.Thomas vit seul car son couple a été détruit face à la mort subite de sa petite Emilie à l’âge de 3 mois. Il s’en sent responsable. Pour survivre il préfère rester dans sa solitude.

 

Solitude que sa jeune collègue Carina aimerait rompre mais il ne voit même pas la jeune fille.

 

Ce sont les vacances et pourtant le cadavre d’un homme s’échoue sur une plage, enroulé dans un filet de pêche. Thomas pense d’abord à un suicide.

 

Le suicide est exclu lorsque la cousine du noyé est retrouvée morte dans une chambre d’hôtel. Apparemment elle aurait subi des violences mais elles ne sont pas la cause de la mort. Elle aurait avalé de la mort aux rats…

 

L’été s’annonce pesant sur l’île de Sandham.  Quel sera le suivant ? 

 

 

J’ai longtemps hésité avant de lire ce premier roman de cette série. Vantée comme la nouvelle Camilla Lakberg d’où mon hésitation.

 

Les personnages sont très réussis, voire même  très sympas. Une  belle description des paysages. Le suspense est excellent même si j’avais vite compris le nom de l’assassin.

 

Une très très bonne lecture. Je me réjouis de commencer ce soir la seconde enquête « Du sang sur la Baltique »

 

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9 juillet 2016

Terreur sur les vignes de Peter

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Un critique provoquant aussi bien la haine que le bonheur chez les vignerons selon les notes qu'il attribue à chaque cuvée, a disparu il y a de cela une année. 

Un soir de vendange, il est retrouvé dans le vignoble de Gaillac, dressé sur une croix et revêtu de la robe de la confrèrie de la Dive bouteille. Gil Petty est apparemment mort dans une cuve vu son aspect rougeâtre causé par le vin rouge. 

Mac Loed, ancien médecin légiste, enseignant la biologie à la faculté de Toulouse décide qu'il va tenter de découvrir ce qui se cache derrière cet assassinat. Il rencontre en premier lieu, le policier qui a mené l'enquête sur la disparition de Gil Petty, David Roussel, qui prend Mac Loed un peu de haut mais consent à répondre à quelques questions.

Pourquoi il ne s'est pas inquiété de la disparition de Petty, il ressort les vieux dossiers de personnes disparues dont son ami Serge Coste, jamais retrouvé depuis quatre ans alors Petty disparition aussi.

Mac Loed va loger dans le gîte dans lequel le critique séjournait. Il fait la rencontre de Michelle Petty, fille de la victime qui ne veut pas entendre parler d'enquête au début.

On va tenter d'assassiner Mac Loed au milieu des vignes. Peu après, Serge Coste est découvert lui aussi imbibé de vin rouge. Deuxième cadavre. Cela se corse.

D'autant plus que Nicole, son étudiante qui l'aide dans ses enquêtes arrive, Charlotte l'insaisissable apparait et pour fermer le cercle sa fille Sophie s'invite avec son copain Bernard. Bien entouré Mac Loed.

L'enquête il la mènera que l'on veuille ou non.

Si vous avez adoré le trilogie écossaise de Peter May dont l'île aux oiseaux, vous serez un peu déçu. Roman policier oui mais d'un autre style, beaucoup moins mystérieux. On se balade entre les ceps, on apprend tout de la fermentation des raisins, du danger du gaz carbonique qui en découle ainsi que de la cueillette réalisée la nuit tout en découvrant les péripéties de l'enquête. 

Mac Loed est très sympathique, écossais naturellement, tenace très tenace. 

Un cru moyen.  May

20 juin 2016

Le pas du renard de Claude Izner

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Paris, les années folles. Même si la guerre est terminée, la vie dans la capitale n’est pas facile. Crise du logement, nourriture hors de prix, le peuple se débrouille comme il peut.

 

Jeremy Nelson, pianiste de métier, n’est pas mieux loti. Il vit dans une gargote, ses vêtements commencent à s’user et il a perdu sa place. Mais il ne veut pas rentrer aux USA où il a grandi car il est bien décidé à comprendre qui était son père et peut-être le retrouver.

 

De ses parents, il ne lui reste que quelques objets, une montre, une facture d’hôtel, une photo et une lettre. Il décide de se rendre à l’hôtel de ladite facture. Quelqu’un doit bien avoir connu Paul K.

 

Sur son père, il ne trouve aucun renseignement après avoir interrogé le gérant mais il fait la connaissance de Rince Mirettes qui apprenant qu’il cherche du travail lui dit d’aller trouver Marie la caissière au cinéma le Rodéo. 

 

Jeremy ne sait pas et heureusement que le directeur du Rodéo a été assassiné et puis enterrer par une drôle de bande. Bande qui n’est pas responsable de l’assassinat. 

 

Après avoir assisté à la séance de cinéma, durant laquelle il est en admiration pour le pianiste qui se nomme Camille, Marie accepte d’aller boire un café et lui donne rendez vous le soir au 

MI Ka Do cabaret où elle travaille également. Il aura peut être une chance. 

 

Jeremy ne se doute pas qu’il va être confronté à de singulières aventures ponctuées de meurtres qui concernent les artistes du Mi Ka Do. L’essentiel pour lui est d’avoir pu remplacer le pianiste du cabaret, poivrot notoire et de continuer ses recherches sur le passé familial.

 

 

Très déçue de l’arrêt des enquêtes du libraire Victor Legris, j’ai mis un certain temps à vouloir découvrir les aventures de Jeremy Nelson le féru de jazz.

 

Et oh quel bonheur, en fait on retrouve beaucoup de similitudes entre l’ancienne série et la nouvelle. La patronne du cabaret n’est autre qu’Eudoxie avec vingt ans de plus bien évidemment. On y parle de Victor et de Tasha ainsi que d’autres protagonistes. 

Et si vous vous êtes fan de cette série, vous comprendrez qui est Camille.

Les enquêtes de Victor Legrix et la première d’une longue série, je l’espère, de Jeremy Nelson forment un cercle mais dont on ne connait pas encore le centre. 

 

Ne pas oubliez, les descriptions de Paris et de ses habitants. Je me régale.

 

Jeremy Nelson quitte Paris pour Londres à la fin du roman. Je suis prête à l’y suivre.

 

 

 

19 juin 2016

Le garçon qui ne parlait pas de Donna Léon.

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Quel délice de retrouver une nouvelle aventure de Brunetti. 

Fin de l'automne sur Venise, Patta charge Brunetti de découvrir si il y a magouille concernant une terrasse d'un magasin. Cela pour protéger le fils du maire. 

Pourtant ce n'est pas cette affaire qui va tracasser Brunetti mais la mort d'un homme sourd muet que lui et Paola ont vu pendant quinze ans dans le pressing où ils déposent leurs vêtements. 

L'homme d'une quarantaine d'années est mort après avoir avalé des somnifères, étouffé même. 

En faisant des recherches, Brunetti constate avec effarrement que l'homme n'existe pas, pas d'état civil, comme s'il n'était jamais né. 

Sa mère prétend qu'elle a perdu tous les papiers. Etrange, d'autant qu'elle même a un comportement bizarre. 

Petit à petit, l'enquête converge vers une famille d'aristocrates dont le père était le Roi du cuivre.

Qui a tué Davide, car c'est bien un meurtre et non un suicide, Brunetti en est persuadé. 

 

"Le lendemain matin, la pluie que Foa avait pressentie était arrivée. Brunetti mit sont imperméable et prit un parapluie en sortant de la maison. Il décida d'aller de San Silvestro à San Zaccaria en vaporetto et s'arrêta pour acheter le Gazzettino pour le trajet. A bor, il remarqua que juste une poignée de gens lisaient le journal, et que les autres ne lisaient rien du tout.Bien sûr le fait de passer devant le plus beau décor du monde pouvait les avoir distraits de la présentation superficielle et des analyses erronées des événements de la planète que leur présentait le Gazzettino, mais il était toutefois surpris que si peu de personnes s'adonnent à la lecture. Il lisait, Paola lisait, ses enfants lisaient, mais ilil se rendit compte  qu'il avait rarement l'occasion de discuter des livres  ou de trouver quelqu'un qui y prenne un véritable intérêt"

 

Brunetti, ses voyages sur le canal, ses questionnements, son esprit italien. Je ne m'en lasse pas.

 

 

 

8 février 2016

L'inconnu du Grand Canal de Donna Leon

 

 

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On a retrouvé le cadavre d’un homme dans le Grand Canal de Venise. 

 

Défiguré, ayant le torse et le cou disproportionné par rapport au reste du corps, l’homme a été poignardé et jeté dans le canal alors qu’il était encore vivant. 

 

Brunetti à l’impression de l’avoir déjà vu.

 

L’homme souffrait de la maladie de Madelung, qui touche surtout les alcooliques et les drogues, entrainant un gonflement de certaines parties du corps.

 

De fil en aiguille, Brunetti se souvient qu’il avait vu l’homme durant une manifestation des producteurs laitiers, comme simple spectateur.

 

Il apprend durant l’enquête que l’homme vient de Mestre, qu’il était vétérinaire dans une Clinique privée et depuis quelques mois exerçant également son métier dans un abattoir.

 

Sa femme l’avait mis à la porte car il avait une jeune maitresse. 

 

Brunetti décide donc d’aller faire un tour vers les abattoirs…..

 

 

Un excellent Brunetti. On retrouve tout le monde avec plaisir, Patta le chef, Vianello, Paola, Ellettra etc….

 

Brunetti a vieilli et constate à quel point sa ville de Venise à changé en dix ans, que tout est toujours pourri dans son pays, il s’en indigne moins mais cela continue à le révolter. 

 

Paola sa femme travaille toujours à l’Université où elle donne encore ses cours de littérature. Elle aussi constate à quel point tout change : surtout ses étudiants. 

 

A travers les paroles de Brunetti, Donna Leon nous présente une belle critique du monde européen dans lequel nous progressons. 

 

 

 

A bientôt Brunetti….

 

« « Sur le chemin du retour, ils traversèrent une paisible campagne qui se préparait à accueillir l’abondance de l’été. Les arbres portaient leurs premiers bourgeons verts prêts à se métamorphoser, comme par magie, en feuilles. Brunetti rendit grâce à la nature pour cette verdure et ses promesses. Les oiseaux-Brunetti les reconnut mais ne put les nommer- étaient perchés au milieu des pousses vertes, et se racontaient les uns, les autres leur vol récent vers le nord »

 

 

 

27 décembre 2015

La plume du corbeau de Patricia Wentworth

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Miss Silver et Miss Marple auraient pu être amies. Toutes les deux âgées, aimant tricoter et résoudre des énigmes sont leurs points communs. 

Par contre, il existe des différences : Maud Silver est une vieille fille, ce qui ne l'empëche d'avoir des neveux et nièces, elle enquête à la demande et se fait rétribuer. Elle ne réside pas dans un petit village mais bien en ville, son intérieur ressemblant à celui de l'ère victorienne.

 

La plume du corbeau est le premier roman dans lequel Maud Silver entre en scène. 

L'inspecteur Frank Abbott fait part à Maud Silver de son inquiétude car une cousine éloignée a reçu une lettre anonyme. La jeune dame, maman d'un garçon,   réside à Tilly Green n'a pas voulu avertir la police. Frank Abbott aimerait que Maud Silver se rende discrètement là bas. Le manoir du village  appartient à la famille Repton dont la fille va bientôt se marier. Un petit village paisible comme il en existe d'autres mais ...

Tout se précipite lorsque Maud Silver lit dans le journal qu'une certaine Doris Pell a été retrouvée noyée sur le domaine de Manor House à Tilly Green. La jeune fille avait reçu des lettres anonymes qui l'avaient affectée.

La décision de Maud Silver est prise.

 

Pour le moment je suis dans mes reprises de séries, surtout policières. Je jongle entre Patricia Wentworth et Agatha Christie. 

Rassurez-vous j'ai d'autres lectures en vue. 

 

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